Par Eleni Bota
Selon les informations, le ministère de l’Infrastructure devrait procéder dans les prochains jours à l’attribution directe des projets aux groupes de construction.
La mission sera dans un premier temps confiée aux grands groupes de construction qui reprendront chacun une zone (comme Pélion, Karditsa, etc.) afin d’enregistrer, d’étudier et de construire les ouvrages des infrastructures endommagées de Thessalie.
Comme il l’a écrit Capital.gr, la réparation des dommages se fera selon des procédures accélérées, comme le prévoit l’amendement soumis au Parlement il y a quelques jours. L’amendement prévoit que dans les zones déclarées en état d’urgence en matière de protection civile et où l’exécution urgente de projets directement ou indirectement liés à la restauration de leurs infrastructures est requise, le ministère de l’Infrastructure et des Transports peut entreprendre, à travers ses services et organismes subordonnés, la planification, la mise en service et l’exécution de projets urgents de restauration des dommages aux infrastructures, même lorsqu’ils ne relèvent pas de son autorité.
Il convient de noter que dans les cas de procédures accélérées, il est prévu d’attribuer directement une zone affectée à un groupe de construction, qui procédera à l’autopsie correspondante et enregistrera les dommages causés ainsi que les travaux nécessaires à sa réalisation. restauration. Le groupe de construction – entrepreneur entreprendra l’étude et la construction du projet, tandis que le montant du budget du projet n’inclut pas les révisions et les réclamations (réclamations) de la part de l’entrepreneur.
Le sujet a également été évoqué hier par le vice-ministre de l’Infrastructure Nikos Tachiaos, s’exprimant au VIe Congrès des Infrastructures et des Transports, soulignant que la restauration des infrastructures de Thessalie impliquera non seulement les grands groupes de construction, mais aussi les petites entreprises, précisant cependant que même « 5 diplômes de 6e ne font pas un 7e », précisant toutefois que « les jeux seront propres pour tout le monde ».
Cependant, les sources de financement des projets d’infrastructure endommagés par les intempéries suscitent de nombreuses inquiétudes. Le ministre de l’Infrastructure et des Transports, s’exprimant lors de la même conférence, a déclaré qu’avec la révision du Plan national de résilience et de relance, les projets d’infrastructure pour un montant de 500 à 600 millions d’euros. Par ailleurs, la nouvelle période de programmation prévoit 1,5 milliard supplémentaire. euros via le NSRF, l’émission d’une obligation verte est une autre option, tandis qu’il est également prévu de signer un prêt de 750 000 000 euros exclusivement pour le remplacement des infrastructures suite à des catastrophes naturelles, mais à la condition que les ressources provenant des autres sources soient être épuisé.
Selon M. Staikouras, « les projets d’infrastructures en Thessalie doivent être réalisés avec l’orientation principale de la gestion de l’eau et être basés sur l’étude de l’environnement plus large, de manière à répondre aux défis de l’époque. Des interventions sont lancées pour la restauration des infrastructures dans la zone, de nouveaux projets seront conçus sur la base des suggestions d’experts scientifiques, tandis qu’il est nécessaire d’évaluer les projets existants, comme par exemple les ponts. M. Staikouras a souligné que le Ministère “Il faut améliorer et corriger les erreurs du passé et avancer rapidement dans la mise en œuvre de bons projets, en coopération avec le secteur privé”.
Source: Capital