DERNIÈRE MISE À JOUR : 14.56
Un article dans Avgi de l’interlocuteur proche constant d’A. Tsipras et ancien proche collaborateur de Thanasis Karteros, donne des “réponses” sur la façon dont l’ancien président de SYRIZA se positionne pour les élections internes du parti.
Il qualifie de « rats » ceux qui ont fait circuler des SMS sur l’envoi présumé d’un message par E. Ahtsioglou à A. Tsipras prétendument pour démissionner, tout en insistant sur le fait qu’il est « absolument neutre » et qu’« il s’intéresse à l’unité et à l’avenir de l’Union ». “Le parti. Aucune tolérance pour l’empathie, les extrêmes, les racismes divers et la toxicité”.
En substance, dans la mesure où cela peut être interprété comme une « intervention » de A. Tsipras par l’intermédiaire de T. Karteros et Avgi, l’article, l’ancien président de SYRIZA nie le sur son atteinte, qui ont été imputés à E. Ahtsioglou, les jours précédents.
L’intégralité de l’article en détail tel que publié dans “Avgi”
“Soutien sournois de Tsipras à Kasselakis, puisqu’il a été précédé d’un soutien moins sournois mais plus évident à Efi. Mensonges, provocations, révélations de l’estomac pour un SMS criminel, que ni le destinataire, ni personne d’autre, n’ont remarqué, jusqu’à ce que nous soyons éclairé par ses rats Internet. Et toujours l’ode maudite, qui s’est terminée par des tragédies pour la gauche, quand elle a imprégné les luttes intestines. Les accusations selon lesquelles lui, elle, eux, eux, vont briser le parti. Les appels à protéger le saint et le sacré. Les autres appellent au châtiment de ceux qui ont commis des tentatives de parricide, de fratricide, d’assassinat politique.
Il est difficile de contrer avec des arguments ce genre de griffes, parfois grattées avec l’aimable protection d’un opposant politique, parfois par pure bêtise, et parfois pour gagner un peu de publicité sur Internet pour les courtisans. La question est, à des moments aussi sensibles, de savoir si nous laisserons ces gouttelettes contaminer un processus propre. Si nous voulons manger les histoires et les atrocités colportées sur Internet. Cela confond même Alexis Tsipras, comme s’il n’ouvrait pas la porte à la nouvelle vague de SYRIZA avec sa franchise bien connue, mais le robinet pour remplir sa baignoire. Ou, pire encore, la vanne pour remplir les eaux usées. Et devenir le parti de la tolérance, le parti des coupables.
Puisqu’il ne sert à rien de réprimander les auteurs de ces constructions, il est bon de le rappeler. Premièrement, Tsipras a déclaré qu’il resterait et reste strictement neutre. Nous respectons toutes les décisions de nos membres, tel est son point de vue inébranlable. Deuxièmement, la dernière chose dont on peut l’accuser est d’avoir organisé des complots au sein du parti en cours de route, ou d’avoir utilisé des théories pratiques sur les ennemis à l’intérieur des murs. Ne le fais pas maintenant. Et troisièmement, ce qu’il a montré dès le premier instant et qui l’intéresse, c’est l’unité et l’avenir du parti. Tolérance zéro pour le sectarisme, l’extrémisme, les racismes divers et la toxicité.
Et nous pouvons raisonnablement supposer, connaissant son parcours, que ce qu’il demande et attend, c’est que chacun, à partir de lundi, sans réserve ni astérisque, soutienne celui que choisiront les membres de SYRIZA. Sans peurs artificielles et avec une véritable passion… »
Source: Capital